Livre d’hôtes


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Viviane
8 novembre 2019

J’ai connu Claudio à Chamonix en 1969, à une époque où il avait beaucoup de doutes sur lui-même, qu’il avait tendance à noyer dans la bière, mais sans en boire plus de deux dans la soirée.
Il ne grimpait plus guère à cette époque – j’ai été contente d’apprendre qu’il s’y était remis – et il avait pris des kilos.
Il me parlait de la Cima Scotoni, qu’il me disait avoir été sa plus difficile ascension (en solo) et bien des années plus tard, quand j’y suis allée, j’ai eu une pensée pour lui.
Comme Reinhold Messner, rencontré la veille de son ascension en solo de la Davaille aux Droites, j’ai suivi au fil des années l’évolution de sa carrière.
La voie Detassis, au Crozzon di Brenta, ne me sembla pas très difficile en tête de cordée mais je n’aurais pas pu m’y lancer en solo.
Bravo Claudio, tu étais un GRAND !


Marceline Johnen
8 mars 2019

Grand merci pour ce magnifique témoignage de ces alpinistes, et en particulier de Claudio Barbier, qui ont fait de leur passion une œuvre d’art.
Belle évocation aussi des portraits et de ces figures d’hommes et de femmes; le site est magnifiquement référencé.
Marceline, compagne de Thierry Leruth (Liège)


François Médard
16 février 2019

Au mois de novembre dernier, je remontai la Piave vers le pied de l’Antelao. J’avais épluché les livres de Mario Rigoni Stern et un de nos buts était d’aller, mon ami Romano et moi-même, contempler, photographier et peindre les sommets depuis l’altipiano. Il n’en fût rien, la tempête ayant ravagé la forêt de Mario…
Nous sommes restés dans notre vallée, nous déplaçant vers l’un ou l’autre lieu mythique, si le col était bien ouvert afin d’enfanter l’une ou l’autre aquarelle.
Évidemment, aux côtés de Mario, siégeait Claudio dans nos discussions sur les revers de ces montagnes apparentes. Plutôt que de les grimper, j’ai une envie roborative de les peindre!


Aly Knol
15 juin 2018

Je suis mariée avec Francis Mahy, né à Seraing en 1951, qui a grimpé avec Claudio Barbier.
Peut-être l’un de vous a-t-il connu Francis et se souvient de lui ? Si c’est le cas, pouvez-vous prendre contact avec nous, via le contact du site Claudio Barbier ?
Merci beaucoup.


Patrick Gabarrou
13 mai 2018

Merci beaucoup Didier.
Quel travail! Quel magnifique travail!
Dommage que lui-même n’ai jamais rien écrit sur cette quête d’absolu…


David Van Reybrouck
12 mai 2018

Cher Didier,
Je redécouvre votre site avec beaucoup de joie et d’admiration!


Edouard Deramée
2 mai 2018

Superbe travail sur un des personnages le plus emblématique de l’escalade. Un vrai modèle.
Merci à vous


Eric Vola (Marseille)
21 avril 2018

Salut Didier,
Bravo pour votre site que j’ai fait connaître à tous mes amis grimpeurs qui ne le connaissaient pas.


Guilhem Fabre
12 janvier 2017

Bravo et merci pour ce site consacré à un grimpeur inclassable de génie … et au livre lyrique amoureux d’Anne L.
(s) Un ancien « petit » grimpeur du sud de la France, fan de Claudio Barbier


Carole Le Mouel
25 février 2014

Je viens de refermer le livre d’Anne, « Le grimpeur maudit » et je tenais à lui exprimer toute l’émotion que cet ouvrage a suscitée en moi.


Claudia
2 février 2014

Ciao Didier,
ho letto con molto interesse il sito relativo alla storia di Claudio Barbier, sono appassionata di Storia dell’Alpinismo e seguo con interesse le vicende di tutti gli alpinisti.
Claudio e’ una figura molto particolare e molte cose gia’ sono state dette.
Di sicuro un uomo intimamemte legato alla vita attraverso le sue montagne.
Quello che pero’ non ho capito, e probabilmente mi sfugge, e’ la vicenda legata alla sua morte .


Eric Lorenzi (Liège)
22 janvier 2014

Je viens de parcourir votre site, qui rend hommage à Claudio, et je trouve que vous avez fait un travail remarquable.
Merci à vous pour que les futurs grimpeurs n’oublient pas et apprennent encore plus.


Marco Re
8 janvier 2014

Bel sito su un fuoriclasse affascinante ed impareggiabile …occorre fare lo stesso anche per Nicolas Jaeger !


Didier Hallaux
22 janvier 2012

Je viens d’achever la lecture du livre « Le grimpeur maudit », « La vita del Drago » écrit en français. J’ai également eu l’honneur de découvrir la BD écrite et dessinée par Anna Lauwaert. Témoignages intéressants pour découvrir les facettes de ce fabuleux grimpeur et sa vie de passionné. A lire, en tout cas pour connaître un coin d’histoire de l’escalade belge.


Paola Gardin
8 novembre 2011

Grazie per il vostro sito che ho trovato dopo essere stata affascinata dal libro di Anna Lauwaert.

Mi piacerebbe sapere se ci sono iniziative o commemorazioni in onore di Claudio Barbier, il racconto della sua vita mi ha toccato profondamente.


Silvano De Angeli
9 octobre 2011

Ayant arrêté l’escalade et l’alpinisme à la demande de mon épouse, je ne connaissais pas ce lien concernant Claudio. Je l’ai feuilleté et il ressemble bien au bonhomme qu’il était.

Je me souviendrai toute ma vie quand j’ai appris la nouvelle de sa mort lors d’un séjour à Chamonix, le Mont Blanc m’est tombé sur la tête… Je n’y croyais pas, car malgré ses escalades osées en solo, il était pointilleux sur la sécurité, et ne laissait rien au hasard, et pourtant…

Je l’ai rencontré quelques fois au « Chamonix » à Freyr, au fond dans un coin, lisant un livre. J’ai pu converser avec lui quelques fois, un gars de partage et pas avare de conseils. Il brûlait toujours quelque chose dans son regard et cela m’a toujours impressionné en lui. C’était un Grand parmi les Grands.
Ciao Claudio.


Giuseppe Miotti
24 mai 2011

Spero che questo sito della memoria rimanga sul web a ricordare a scalatori « grandi » e « piccoli » una persona modesta e impareggiabile come Barbier.

Complimenti e grazie,

Giuseppe « Popi » Miotti


Jean-Pierre Singer
30 juillet 2010

Un très grand merci pour votre superbe site qui perpétue la mémoire de Claudio Barbier, et à Madame Lauwaert pour son livre « La via del Drago ». Grâce aux liens fournis, j’ai acheté le très beau livre de Madame Lauwaert et sa lecture m’a beaucoup touché.

Très sincèrement,
Jean-Pierre Singer (FR)


Francis Bechet
22 avril 2010

En surfant ces jours-ci sur le site, je retrouve une photo noir et blanc de Claude avec Jackie et Jacques (1971), photo prise par moi au Montenvers (je venais de me geler les pieds après trois bivouacs dans une tempête d’enfer au sommet du Chardonnet).

Souvenirs…

Avant d’aller passer de très nombreuses années en Afrique à partir de 1973, ma jeune épouse de l’époque (Jackie) et moi étions très proches de Claude. En effet, au-delà de la même passion pour la montagne, nous habitions dans le même quartier, celui de l’avenue Plasky à Bruxelles. Inutile de dire que l’on se voyait beaucoup, rarement chez lui, souvent chez moi (au Lotus Bleu), pour parler varappe, prendre un verre ou…. simplement rigoler, partir ensemble au « 140 » pour écouter Genesis, ou bien aller voir les Stones, Pink Floyd, et surtout Johnny (que Claude adorait). Ou encore partir en semaine, vite fait, avec sa Citroën « Ami 8 », pour Chaleux, Dave, etc.

Avec le temps de la retraite, j’habite maintenant sur mon vieux bateau, en route pour la Méditerranée…


Jacques Pontre
8 juin 2009

Bonjour, Je viens d’acheter un livre, et cette page m’a fait penser à Claudio. Ci-joint la couverture et la page consacrée à l’historique de l’escalade.


Emmanuel Tries
25 avril 2009

Bravo pour l’entretien de la mémoire ! J’ai bien aimé me replonger dans cette période de mes débuts laborieux où à l’âge de 14 ans mes idoles étaient R. Demaison, J. Bourgeois, J.C. Hans…et C. Barbier (j’en avais 17 à sa mort). On a souvent tort de croire que les choses sont comme elles sont maintenant sans se rappeler qu’elles ont une histoire et s’inscrivent dans un contexte temporel ! Quant à la guerre des pitons, j’en fus une des nombreuses victimes, me lançant dans une voie de mon niveau et me retrouvant à paniquer car un Alatoya de la grimpe avait jugé bon de retirer le piton salvateur ! Je les ai maudits, ces gens qui ont voulu imposer leur loi sur les rochers !!!!

PS: Si quelqu’un se retrouve un jour dans la Carlesso sans la grosse broche mise à l’envers, et qu’il n’a pas le niveau 7 (dans une voie cotée 5-6) il n’aura plus qu’à redescendre, c’est ce qui arrivait souvent à l’époque de cette guéguerre. Claudio, apparemment, se contentait de peindre en jaune le piton qu’il estimait inutile, c’est plus respectueux des autres usagers, me semble-t-il !


Emmanuelle Dumont
10 février 2009

Je voudrais vous féliciter pour le site de Claudio. Il est magnifique et à la « hauteur » de Claudio.

J’étais l’amie de Bernard Gysen (ami de cordée de Claudio). Bernard me tirait régulièrement dans les rochers et j’y prenais un plaisir fou.
Bernard n’est plus de ce monde non plus mais je garde de ces deux bons alpinistes un souvenir qui ne pourra jamais s’effacer.

Merci encore pour cette belle mémoire de Claudio.


Ivo Ferrari
2 février 2009

Bellissimo sito.
Un personaggio grande, che a reso ancor piu belle le Dolomiti e la storia alpinistica di queste meravigliose cattedrali.


Eleuterio lliuya Cipriano
Huaraz (Ancash, Peru)
19 janvier 2008

Congratulations for your great and useful website.


Christophe Brighi
23 novembre 2007

Très beau site. La photo de Claudio qui a orné le mur du café « Le Chamonix » reste gravée en moi. (C’est la photo de 1973 prise par Franky Boeye.)


Walter Mertens
5 octobre 2007

Claudio was ook lesgever bij BLOSO. Helaas vind ik daar niets meer van terug, tenzij een mooie herinnering.


Lionel Daneau
30 août 2007

Je passe en revue les livres de ma bibliothèque et retrouve un livre sur la grimpe de mon grand-père. Une passion qu’il a partagée pendant des années avec ma mère (*). Ils partaient à deux en courses, ou grimper à Freyr. Aujourd’hui, ils ne sont plus là, mais le piolet de bois et la vieille corde d’escalade sont là, dans ma maison, pour témoigner de leurs aventures. Une photo a glissé d’un livre : ma mère, jeune, suspendue à une minuscule échelle sous le Toit du monde à Freyr. Séquence émotion. Les récits tant entendus me reviennent aux oreilles. Alors, j’ai glissé les mots « Toit du monde Freyr » sur le net. Et j’ai trouvé une photo assez semblable dans votre galerie !
(*)Membres du club alpin : Marcel et Michelle Gielon.


Florent Wolff
Rédacteur en chef, EscaladeMag
16 février 2007

Mes sincères félicitations pour votre site, parfaitement conçu et qui présente une mine d’informations incontournables.


Alessandro Gogna
23 novembre 2006

Carissimi, Marco Milani ed io abbiamo molto apprezzato l’idea e la costruzione del vostro sito. In passato ebbi la fortuna di conoscere Claudio: avete fatto una cosa meritoria per il suo ricordo e per l’alpinismo in generale. Cari saluti,
Alessandro Gogna
Milano


Didier Hallaux
20 mai 2006

J’ai découvert Claudio en 79 quand Anne m’a emmené en Italie, au « Passo Pordoi » dans les Dolomites, alors qu’elle projetait, pour la rédaction de son livre, de rencontrer Reinhold Messner. Et depuis, devenu parapentiste, je pense à lui chaque fois que j’ai la chance de partir en montagne.


Marc Bott
08 avril 2006

Merci pour votre site très bien fait sur Claudio Barbier. Une lacune enfin comblée.


Gianpietro De Zolt (CAI-SAT Tesero, Dolomiti)
18 février 2006

Ringrazio Anna di avermi segnalato questo sito degno ricordo di un grande alpinista.
Mi complimento con chi ha avuto questa iniziativa ed a quanti hanno collaborato per la raccolta del materiale.
L’alpinismo nella sua evoluzione non deve dimenticare Claudio che con la sua attività, il suo modo di essere, la sua filosofia è stato un precursore nella storia moderna della montagna.


Michel Colette
7 décembre 2005

Bravo pour ce site consacré à ce grand copain de Claudio.
Déjà 28 ans…
J’ai toujours le souvenir du temps qui s’est figé et de la tristesse qui nous a envahis ce jour-là… Quelles émotions et combien de souvenirs de « Directe », « de Tour de cochon » et de tant d’autres voies en sa compagnie.
Encore merci pour cette belle évocation d’un Grand Bonhomme de l’alpinisme.


Emmanuel Oldenhove
28 novembre 2005

Félicitations pour le site. Il est vraiment intéressant et agréable à visiter, même pour un « jeune » comme moi qui n’ai jamais entendu parler de Claudio Barbier que comme un personnage historique 🙂


Pierre Malengreau (membre CAB depuis 1965)
28 novembre 2005

Bravo pour ce site. Il nous rappelle ce que fut cette époque de l’escalade. Il le dit d’une façon juste. L’attrait pour la montagne et le goût de l’escalade alimentent non pas l’attrait du risque mais une passion de vivre. Claudio nous l’a appris. Merci à lui.


Guy Heylemans
20 octobre 2005

Bravo et merci d’avoir rassemblé des souvenirs sur Claudio, que j’ai apprécié pour son amitié et pour sa grande modestie. Hommage fait tardivement par le C.A.B dont les dirigeants voyaient sa théorie de l’escalade d’un œil critique.
Rendons à Claudio ce qui est à Claudio.
Il restera toujours présent dans mon cœur.


Jean-Claude Vittoz
6 septembre 2005

Félicitations pour ce superbe site, il est très exhaustif et agréable à parcourir, vous avez comblé une énorme lacune et, je pense, cela va ravir beaucoup de grimpeurs. J’ai toujours été un fervent admirateur de Claudio, j’ai eu le grand honneur de grimper à Freyr avec lui peu avant sa mort (nous avions gravi l’Amour), le voir évoluer reste un souvenir impérissable. Dans l’historique des Rochers de Tilff, je parle succinctement de Claudio.
Encore merci pour cette très belle réalisation.


Ph. Ceulemans
4 septembre 2005

Merci pour ce superbe site de Claudio Barbier que j’admire beaucoup.
Un exemple de courage et de détermination dans le milieu alpin belge.


A. Marchal
1er septembre 2005

Un premier parcours du site me remplit de bonheur. J’ai quelques photos prises à Marche les Dames, que je vous ferai parvenir d’ici peu.
Félicitations


J. Degueldre
1er septembre 2005

Bravo pour l’initiative et le travail accompli ! Bel hommage à un grimpeur flamboyant qui savait le prix de l’effort solitaire.


André Hediger (CAB)
29 août 2005

J’ai parcouru le site avec attention et vous félicite pour le travail accompli concernant un véritable héros de l’escalade.
Claudio ne brillait pas par ses contacts sociaux, ce n’est pas là-dedans qu’il trouvait sa satisfaction, d’autant plus qu’il savait disséquer les motivations de bon nombre de personnes et il n’était pas intéressé par la commercialisation de son art. L’escalade était une façon de s’exprimer le plus purement possible. Ses ascensions en solo sont là pour le prouver.
Je regrette comme vous qu’il n’y ait pas eu une plaque commémorative sur un site comme Freyr… nul n’est prophète en son pays.
Les exploits qu’il a réalisés ne seront pas, de toute façon, vite oubliés ; ils resteront comme points de repère, même si nous connaissons actuellement une vague déferlante de l’escalade en éprouvette / fun / business /…
Pour la petite histoire, la plaque avait été gravée mais jamais posée.


Xavier Bonjean
28 août 2005

Félicitations pour le site. J’imagine le genre de difficultés que vous avez certainement dû rencontrer. Vous faites preuve d’opiniâtreté et d’une immense passion pour notre sport et les gens qui l’ont inventé.
Merci et à bientôt.


Jean-Marie Lechat
17 juin 2005

Je n’ai pas de vrai témoignage à apporter, mais, je vous félicite et vous remercie pour ce travail qui cherche à honorer celui qui reste, selon moi, le seul grand « varappeur » belge bien connu à l’étranger (le profil « alpin » de Jean Bourgeois, son contemporain, est assez différent).
J’avais 6 à 7 ans de plus que lui quand il est apparu à Freyr. Mais, j’étais un grimpeur des beaux week-ends d’été, lui un acharné des voies difficiles.
Je n’ai grimpé avec lui qu’une seule fois, et tout à fait par hasard. C’était en avril 1957, durant la semaine avant Pâques, aux rochers du Saussois (Yonne, France). Il grimpait avec un des plus grands grimpeurs français du moment (un homme très costaud, (Lionel Terray ?) mais son nom m’échappe, il me faudrait une liste de noms pour le confirmer avec exactitude), et notre groupe de routiers belges était fier de ce jeune belge déjà apprécié par les meilleurs français.
Je m’étais lancé dans une voie de difficulté moyenne (la Bagarre ? ou la Rech ? probablement, mais peut-être la Martine ou l’Arête du Grand Gendarme, que j’ai faites aussi, je devrais voir un topo pour préciser), mais avec une cheminée assez étroite en son milieu. Claude s’y trouve seul, comme assez souvent déjà. Il s’énerve sur cette chatière, type de passage auquel il n’a pas l’habitude de s’attaquer. J’étais à ce moment meilleur spéléo qu’alpiniste et je lui offre de passer devant.
Après quelques coincements un peu délicats, je franchis le passage et peux lui donner une assurance pour qu’il le franchisse à son tour. Il repart ensuite seul et sort la voie sans plus de difficultés. Je ne l’ai pas revu.
Durant les années septante, on ne parlait que de lui dans les Dolomites. J’y ai passé quelques étés et, si l’on était belge, on ne pouvait parler à des grimpeurs italiens sans qu’ils ne racontent les exploits de « Claudio ». Particulièrement aux « Tre Cime di Lavaredo » évidemment.
J’ai lu qu’il était mort en nettoyant seul l’aiguille du Paradou à Yvoir (était-ce l’aiguille ou les rochers voisins ?).
Or, l’aiguille du Paradou est la toute première escalade que j’ai faite, seul aussi, en juillet 1950, mes parents louant à ce moment la vieille maison aux volets bleus au bord de la route, voisine du petit tunnel piéton qui passe sous le chemin de fer pour rejoindre les rochers du Paradou. Coïncidence curieuse, cet endroit où mon imprudence, 27 ans avant sa chute, ne s’est pas aussi mal terminée.
C’est peut-être cette similitude qui fait que j’ai gardé un souvenir si fort de lui. Bien entendu, sa réputation de « solitaire » est peut-être pour quelque chose dans le fait que l’on n’ait pas beaucoup parlé de lui et pas souhaité en faire un exemple, dangereux pour les jeunes.


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