Lettre à Jean-Claude Legros

Jean-Claude,

 

Dans mon manuel de correspondance, il est mis :
DITES : Mortel, ta parole est suave
NE DITES PAS : Hombre, ta langue est douce.

 

Tes vers claudéliens (les « Grandes odes » ! Ne pas prononcer à la thioise « grandes ZOT » [=folles !]) m’ont rempli d’un tendre émoi. L’escalade est belle, mais il est si rare de la pratiquer parfaitement – alors que les livres te transportent à volonté dans ces sublimes hauteurs (grâce aux sublimes auteurs) surtout avec l’aide chimique de l’alcool et les autres grogs.

 

Salut

 

Claudio

Lettre à Jean-Claude Legros

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *